Il serait convenable que ceux qui puisent dans cet article, pour publication lucrative ou pas, aient le savoir vivre soit d’indiquer leur source soit de faire un lien, merci.
– VIIIe siècle –
11/ 07/711 Bataille de Guadalete ou du Rio Barbate à Cadix : Moins de 3 mois après avoir franchi le détroit de Gibraltar les Musulmans avec l’appui des ariens sont vainqueurs face à Rodéric ou Rodrigue le dernier roi wisigothique de Tolède. Ils auraient été appelés par le gouverneur de Septimanie pour le renverser, ils franchissent les Pyrénées en 719.
Occupations, massacres, razzias, prises d’esclaves jusqu’en 797. Incursions en Fenouillèdes ? Les auteurs affirment généralement que les mauresques ne s’y sont pas aventurés, partout autour sauf ici ( Comme le nuage de Tchernobyl arrêté à la frontière ! ). De coutume le Fenouillèdes s’avère être mis un peu vite à l’écart, c’est à dire qu’à la création des comtés carolingiens de Cerdagne et de Bésalù il fera frontière commune avec l’Islam. D’ailleurs un plomb authentifiant un pillage musulman légal a été exhumé à St Paul. Avatars des mémoires ou pas les toponymes en Gardiole*, Maure et Sarrazis n’y sont pas absents, en faisant abstraction des mégalithes. A Castelfizel on raconte que la forteresse était une place forte des Sarrazis. Ils y auraient enfoui un trésor… Roquefeuil en Pays de Sault a son Pic des Sarrazis couronné d’une antique fortification. Auraient – ils été trop chargés, comme le sont les romains ?
Le rempart des sarrazis sur le roc de Moufri culminant à Galamus, n’a rien de cette époque, des tessons d’amphores identifiés d’origine carthaginoise y été découverts, ce sont plus sûrement des vestiges d’une occupation préhistorique. Tels le cimetière des Maures proche du prieuré de Serrabonne et celui qui domine le confluent du Verdouble. Le Roc du Maure à Tarérach ou celui de Trévillach. Quant au château des Maures du col de St Louis, une approche différente à la date 1632.
* Voir au IX è. siècle.
719 – 720 : Les sarrazis prennent Narbonne aux Wisigoths après un siège de 1 an, puis Carcassonne. Berbères épaulés de Syriens et de Yéménites, aux ordres de l’émir Al – Samh – Ibn – Màlik – Al – Hawlàniyy. – Ces nouveaux conquérants se fixèrent surtout sur Narbonne et firent preuve d’une tolérance surprenante de nos jours ( G.Frêche ). Peut être une fois installés ? Car il se dit par ailleurs qu’ils transformèrent le pays en désert. Les habitants furent décimés, moururent de faim ou s’enfuirent affolés vers les montagnes. Plusieurs villages du littoral ayant été vidés de leur population mâle, prise comme esclave. Ces épouvantes sont passées dans le vocabulaire, on va y revenir rapidement.
Mais l’Eglise se serait ruée plus que de raison à l’encontre des musulmans en dramatisant à outrance la réalité historique, d’ailleurs R. Sala rejoint G. Frêche : Contre le loyalisme et le paiement d’un tribut annuel personnel et territorial les sarrasins garantissaient le maintien de la propriété, des coutumes, la langue et la religion des indigènes.
Suite à un renversement d’alliance les Arabes ont été sollicités pour lutter contre les Francs, ces brutes sanguinaires étaient le bras armé de Rome.
A lire : Dictionnaire topographique du département de l’Aude par l’abbé Sabarthès.
Sarrazis : Phonétique à l’occitane de sarrasins dont l’écriture conventionnelle languedocienne est Tartarin. On a vu en pages Gabachs que Catalan est en occitan synonyme de Le Diable, Tartarin aussi toujours selon l’Alibert. Les premiers sarrasins font parler d’eux entre le Tigre et l’Euphrate au début de notre ère, les caravaniers ont eu à en souffrir,, ensuite ce seront des musulmans de l’ensemble du Moyen – Orient qui se coaliseront avec les Arabes et mèneront la guerre sainte en Europe.
Petit rappel d’histoire – géographie : Synthétiquement parlant les Maures d’origine Berbère étaient surtout implantés en Maurétanie, dans l’actuel Maroc et tout l’Atlas intérieur jusqu’à la Libye hors zone climatique méditerranéenne. Les Berbères, désignation au sens générique, constituaient un panel d’ethnies hors les Maures, réparties dans tout le Sahara et l’Afrique du Nord jusqu’en Egypte.
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726 : L’Emir Ambasa reprend Carcassonne grâce au ralliement de la noblesse arienne.
Tout le Languedoc* est occupé. Etre chrétien en ce temps là ne relevait pas du bon choix. La religion de Damas prévalait, le pays fut brièvement rattaché à ce califat.
Un dépôt de 150 m de pierre ponce révèle une éruption majeure du système volcanique de Santorin. Eole a t’il été accommodant avec nos côtes méditerranéennes ?
17/10/732 : Charles Martel, le premier carolingien, arrête à Poitiers l’Émir de Cordoue Abd – Al – Rahman . Ce dernier au cours d’un raid en Aquitaine, venait de battre le duc Eudes ( 700 à 735 ) à Bordeaux. Lequel ayant réussi à s’enfuir s’en alla requérir l’aide de son pire ennemi, Charles Martel. Quelques mois auparavant Abd Al Rahman avait fait le siège de Llivia. Eudes était le le gendre de Munnuza wali de Narbonne, ce dernier assiégé à Llivia ( Actuelle enclave espagnole en Cerdagne française ) par Abn – Al – Rahman s’en serait échappé pour finalement se sacrifier du haut d’un promontoire dominant la Têt.
Mais les Sarrasins restent les maîtres de la Septimanie et de la côte du Rhône aux Pyrénées. Narbonne, Château – Roussillon sont des camps de base d’où ils préparent leurs incursions en Aquitaine, Bourgogne…
736 et 737 : Bataille de Villefalse, rive opposée de La Berre face à l’oppidum de Sigean. Victoire de Charles Martel sur Ibn – Chaled et l’émir Ocha. Mais il échouera au siège de Narbonne tenu par le wali* Youssouf ou Yusuf / coalition Mahométans – Chrétiens. Charles Martel aurait été contraint de lever le siège, l’hiver arrivant et préoccupé par d’autres rebellions.
* Wali = Gouverneur d’une province. Umar Ibn Umar fut aussi un de ceux en poste à Narbonne.
Autrement dit, à la férocité des Sarrasins se superpose celle des Francs. Beaucoup ont regretté d’avoir fait alliance avec ces sauvages dans le but de se débarrasser des musulmans. Pillages et viols n’étaient pas en contradiction avec la Croix. St Gontran évoqué en fin de VI è. siècle en est le parfait exemple.
750 : Le prince Abd – Al – Rahman fut le seul rescapé du massacre de la dynastie des Califes Umayyades perpétré par les Abassides à Damas. Il fit construire la mosquée de Cordoue. Il en fut proclamé émir en 756.
751 Pépin III Le Bref élu roi des Francs : Les mérovingiens ou » Rois fainéants » au comble de la déliquescence, sont écartés du pouvoir par une famille noble d’Austrasie actuel Est de la France et de la future dynastie des carolingiens.
752 ou 759 Narbonne* : Pépin le Bref, fils de Charles Martel, appelé à la rescousse par les Goths, soulevés contre les Maures, expulse ces derniers et incorpore la Septimanie dans l’empire Franc. A la faveur d’un revirement des Goths qui avaient massacré la garnison ennemie, son fils Charlemagne reprend Narbonne à Abd – Al – Rhaman et semble t-il Carcassonne. Ce seraient les narbonnais qui auraient livré la ville aux carolingiens.
Création de la Marche de Gothie ( Ex Septimanie ) pour se prémunir des sarrasins. A l’issue de la prise de Barcelone, soit vers 801, selon d’autres sources.
*Le siège aurait duré 7 ans. Vers 759 et après Narbonne, le Roussillon est pris par les Francs.
Les catholiques peuvent à nouveau pratiquer leur culte.
777 : Sulayman wali de Barcelone, Al – Husayn son homologue de Saragosse sollicitent le soutien de Charlemagne. En échange de la promesse de lui livrer le nord de la péninsule.
778 : échecs de l’expédition conjointe Barcelone-Saragosse et Roncevaux – Saragosse en conséquence de la trahison du gouverneur de Saragosse.
D’où la vague des réfugiés Hispanis, chrétiens religieux ou pas fuyant la religion de Cordoue et la répression engendrée par les susdites défaites. Émigration prolongée jusqu’à la fin du IX è. Aprision crée par Charlemagne au profit de ces émigrants, c’est à dire attribution de terres nettes de juridiction comtale et de cens ( Loyer ) avec en contrepartie l’obligation d’assurer un service de protection armée face à l’ennemi au Croissant. C’était autant un moyen de repeupler le Fenouillèdes sans exclusive. Toute personne valorisant des terres incultes en devenait propriétaire au bout de 30 ans. Ces Hispanis sont à l’origine de la fondation de plusieurs établissements ecclésiastiques. Une part de ces Hispanis aurait porté un nom mauresque.
Ce serait consécutivement à la mort du comte Roland, dans une embuscade tendue par les vascons, des basques du parti des sarrasins, que Charlemagne aurait militairement réorganisé la région, en créant la Marche d’Espagne alors dite Marca Hispanica. ( Lien à fiabilité non garantie ). Elle correspondait à l’actuelle Catalogne espagnole, soit au sud des Pyrénées et donc de la Septimanie. Selon l’analyse de René Quehen le Fenouillèdes dépend déjà du royaume d’Aquitaine, conçu par Charlemagne pour son fils Louis 1er Le Pieux, alias Louis le Débonnaire de 781 à son couronnement à Rome jusques vers 882. Le Pieux est né en 778. Nous allons revenir sur ce sujet jusques en 863, réformes territoriales successives aidant…
Charlemagne accorde une charte de protection à l’abbaye de Lagrasse, fondée de fraîche date par Nefridius ou Nimphridius le premier archevêque de Narbonne. Elle connaîtra un rayonnement immense. Ses domaines vont s’étendre jusques en vue de Saint Michel de Cuxa. Une autre date circule, selon une charte dite de la fondation, datée de 799, aux archives de l’Aude ?
Les hispanis ont introduit une pléiade de saints dont : Assiscle, Colombe, Cucuphat ( Couat ), Dorothée, Eulalie, Fructueux, Just et Pasteur, Juste, Lèocadie, Ruffine, Victoire, Vincent… Ramenés d’Andalousie, Aragon, Castille, Estrémadure… Hormis le Fenouillèdes ils furent nombreux à être fixés dans l’actuel département des Pyrénées Orientales, en Carcassés, Narbonés et Peyrepertusés. Cette opinion est celle de l’abbé Sabarthés, la tendance actuelle est à les attribuer aux wisigoths comme St Félix de Gérone, St Julien, Ste Basilisse…
Cartes de la Septimanie et de la Marche d’Espagne en 6. Lien différent du précédent.
Atlas historique de la province de Languedoc
Articles de Jean Paul Martin.
780 : » Première mention de « * l’abbaye de Saint Martin Lys ( Lez ), ancien ermitage de St Valcarne, dans le dénombrement de celle de Lagrasse. Les moines de la vallée de Valcarne avec ceux de St Jacobi** de Joucou sont à l’origine de la création d’une grande partie des villages du Capcir, Pays de Sault et du Donezan , en tous cas rattachés à ces abbayes. St Martin possédera des droits importants et des terres à Cassagnes ( 955 ), Caudiès, Escouloubre. Fenouillet, Marsa, Prats de Sournia avec Pezilla de Conflent + Trilla + Vira, St Paul de Fenouillet … Des salines à Torreilles.
Et encore une !
*Il ressort des ouvrages consultés que les premières mentions de … sont à relativiser, nos recherches les ont maintes fois démenties par antériorité. Elles ont surtout le mérite de cerner la simplification et ou l’orientation des investigations de leurs auteurs, c’est d’avantage la première mention à leur connaissance.
* *Selon une inscription datée de 768 mise à jour dans les ruines de cette abbatiale.
782 : Première mention de Quillan villae Quilianus dans les possessions de l’archevêque métropolitain de Narbonne. D’après maître Louis Fédié Quillan figurait antérieurement dans les textes du Rhédésium en tant que Kilianus. Il reste à citer André Marcel : Quillan trouve vraisemblablement son origine étymologique dans le nom gallo – romain Culius ou Quelius.
L’évêché de Narbonne dès le III è. siècle puis les abbayes de Alet, Lagrasse et St Polycarpe sont à l’origine d’innombrables cellaes ( Chapelles ) ecclésias, villas ou villarias. Ecclesia pour église sous entend une commune, villa un hameau à ne pas amalgamer à la villa romaine.
785 – 786 : Date à laquelle les Berbères ont été refoulés au delà des Pyrénées, prise de Gérone livrée par dédition ( Livrée par leurs habitants ). Ils vont resurgir périodiquement jusqu’au XII è. Voir les multiples contradictions par rapport à 778 et c’est pas fini …
788 : Concile à Narbonne, le diocèse de Rennes est distrait de celui du Carcassés pour être associé à Narbonne. Ce qui englobe tout le Pays de Sault.
Vers 793 Bataille de Villedaigne : Guilhem de Gellone y arrête les Berbères, de là à parler de victoire franque serait inapproprié. L’ émir de Cordoue Hescham sous le commandement du vizir Abd – El Melek ou Malik conserva un énorme butin. Il faudra attendre jusques vers 797 pour que Guilhem puisse définitivement éradiquer la menace de l’émir Hakem. Il reste à préciser si cette bataille de l’Orbieu est un fait avéré ou s’il s’agit seulement d’un épisode de la légende de Philoména au XIII è. siècle.
795 A Propos d’énormités : Guilhem crée la Marche d’Espagne, organisée en quatre comtés stratégiques, Carcassonnais, Fenouillèdes, Narbonnais*, Razés. Ainsi que le Roussillon et la Catalogne.
* A notre candide avis cette extension nordique de la Marche d’Espagne est d’avantage une réadaptation de celle de Gothie et antérieure à 785.
Les habitants de cette entité militaire, la Marche, avaient obligation de prendre les armes si besoin était, sans que cela puisse exclure les trois mois annuels de service obligatoire. Un marquis , en résumé = Gouverneur militaire, était à la tête de chaque marche.
Pour René Quéhen comme maître Louis Fédié le Fenolhedés et le Razés, Perapertusés inclus auraient été érigés en comtés dès cette date, en citant l’ouvrage Marca Hispanica. Le Razés placé sous l’autorité comtale de Carcassonne. Le premier auteur a collaboré et écrit simultanément avec Annie de Pous sur les mêmes sujets, mais leurs sources sont visiblement différentes.
Y en a t – il seulement un qui dit vrai ? Cette interrogation s’adresse, tous thèmes confondus, à chacun des écrivains régionalistes figurant à la rubrique Liens et Livres.
A la tête de chaque comté était désigné un familier du souverain le comitis ou compagnon du roi. comitis ou comes sont à l’origine du mot comte, un chef militaire en charge des fonctions administratives, fiscales et judiciaires.
Vers 798 : Guilhem de Gellone également connu sous les noms de Guillaume d’Orange, Guillaume au Courbnez et en Catalan Guillem*. Ce cousin germain de Charlemagne, issu d’un mariage mixte Franc / Goth, en reçoit les pleins pouvoirs sur les possessions des Wisigoths en Septimanie dont le Razés – Fenouillèdes, Capcir, Conflent, Donezan, Peyrepertusés, Roussillon, Empuries, Pays de Sault.. Événement quelquefois daté en 782.
Les comtes sont désignés par les Carolingiens, dans leur entourage et la métropole ecclésiastique de Narbonne à autorité sur le Razés – Fenouillèdes jusques en 817.
Et encore une ! Les limites de nos historiens inhérentes au JACOBINISME CATALAN.
* Les historiens particulièrement catalans, ont maquillé dans LEUR LANGUE ibérique les noms propres à la base latins, français ou languedociens, inclus ceux antérieurs au XII è. siècle autrement dit à l’apparition du catalan et de ce nom !!! Cette subtilité explique que Willelmus ( Guillaume de la main du premier concerné ) apparaisse Guillem et revient à tromper le lecteur, on verra à la fin des années 1000 le côté ubuesque de la chose. Toujours est – il que ces noms varient selon que le livre soit signé par un catalan, un languedocien ou un français. Des actes permettent une plus grande fiabilité en la matière, vous avez un aperçu des noms réels en introduction de la chronologie des années 1000. Le rhabillage en catalan des patronymes languedociens de personnes installées dans le 66 est toujours d’actualité dans la vie courante.
NB Le souci est que chez les catalans cette réemballe des noms n’est pas un artifice unique, c’est une pièce qui participe chez ces conquistadors d’un puzzle de subtilités aboutissant à une version frelatée de l’Histoire.
Quelques historiens et linguistes frelateurs de Catalogne Nord avec J. Abelanet, J. Becat, L, Bassedes, H. Guiter, R. Gual, P. Ponsich, A. de Pous, R. Vinas et d’autres. Des militants encartés catalanistes sont parmi eux, de ce fait la crédibilité de leur relation est laissée à vôtre bon sens que ce soit de quelque côté des frontières de 1258 et de 1659.
** En 806 selon la plupart des historiens… Et si c’était une méprise du genre je m’inspire de l’ouvrage de mon prédécesseur, sans vérifier ?
En 1880 maître Louis Fédié dans sa chronologie comtale : – La plupart des historiens ont confondu le comte Béra 1er avec un personnage du même nom qui était quelques années plus tard comte de Barcelone. C’est là une erreur manifeste que l’on relève facilement en vérifiant les dates.
Selon lui Béra 1er fut comte de 796 à 840. Depuis les bénédictins dom J. Vaissète, dom de Vic en 1733 avec leur Histoire Générale du Languedoc, les auteurs peinent à déterminer s’il y a eu ou pas homonymie.
798 : D’après un acte signé par deux prélats Théodulfe évêque d’Orléans et Leydrade futur archevêque de Lyon, missi dominici ( commissaires, juges mages) mandatés par Charlemagne, pour dresser un état des lieux des comtés. Selon A. Bonnery ils vinrent à Rennes enquêter sur l’adoptianisme une doctrine hérétique. Il semblerait que Rennes le Château était une des principales villes de l’Aude au même titre que Carcassonne ou Narbonne. L’évêque de Carcassonne chassé par les ariens s’y serait installé ?
Cartulaire du Capcir : Un acte mentionne le Rhedesium ou Pagus Rhedensis, désigné Razés dès le XII è. siècle. Rhedesium = Diocèse de Rhedae. Rhedae est traduisible en Chariots de voyage. Ce campement de wisigoths est devenu Rennes le Château.
SUIVANT Fenouillèdes du IX è.